Les radins



Deux amis, adeptes de radins.com, discutent :
– J’ai un truc pour manger à l’œil.
– Super, tu fais comment ?
– Je vais au restaurant assez tard, je commande une entrée, un plat, je prends mon temps, pour le café, le cognac, un bon cigare et j’attends la fermeture.
Comme je ne bouge pas, quand ils rangent toutes les tables et mettent les chaises dessus pour pouvoir fermer, le garçon vient pour me demander de payer. Je lui dis que j’ai déjà payé son collègue, qui est parti.
Simple, non ?
– Génial, fait l’autre ; si on essayait demain ?
– D’accord je réserve.
Le soir suivant, ils vont au restaurant, commandent de nombreux plats.
A la fin de la soirée, le garçon arrive et leur demande de payer.
Le premier gars lui répond : « Mais c’est déjà fait, à votre collègue qui est parti. »
Le copain ajoute alors : « Et ça fait un moment qu’on attend la monnaie ! »

La super montre



C’est un gars qui attend le bus avec deux grosses valises à ses pieds. Un autre arrive et lui demande l’heure.
– Il est 15 heures 45, répond le gars après avoir regardé sa montre. Alors l’autre passant lui dit :
– Waow, votre montre est superbe !
– Oui, c’est vrai, et surtout, elle a beaucoup de fonctions : par exemple, elle peut être programmée pour donner l’heure dans plus de 50 villes différentes au monde, et en plus, en parlant ! Là dessus, le gars appuie sur quelques boutons, et la montre se met à dire « Ici à Nagano, il est actuellement 1h45″. Puis le gars touche un bouton de plus et la montre se met à donner l’heure en anglais ! Montrant l’écran de la montre, il ajoute :
– Et là vous voyez, c’est un plan de la ville que l’on peut zoomer à volonté en appuyant ici, et ce petit point clignotant, c’est la position où l’on se trouve dans la ville qui nous est donnée par satellite grâce au système GPS intégré !
Alors que l’autre est bouche bée, le gars avec la montre poursuit :
– Cette montre permet aussi de recevoir la FM avec le système RDS. Il y a une option TV mais elle nécessite un écran LCD trop encombrant. Un système de télémétrie permet aussi de mesurer les distances et enfin, pour terminer, une carte de mémoire haute capacité permet un enregistrement vocal de deux heures… L’autre gars est époustouflé :
– Je veux acheter cette montre: il me la faut, maintenant !
– Oh non, j’en suis l’inventeur et je ne peux pas encore vous la vendre maintenant : j’en suis encore à résoudre certains bugs, c’est encore un prototype vous savez…
– Je vous en offre 1 000 euros!
– Ouah l’autre hé ! J’ai déjà dépensé le double pour la créer.
– Je vous en offre 3 000 euros alors !
– Elle n’est pas à vendre je vous dis…
– Bon, allez, je vous en offre 10 000 euros, dit le gars en sortant son chéquier
Alors là, l’inventeur génial réfléchit et rapidement, il comprend que son intérêt est de vendre la montre pour en fabriquer une nouvelle et il dit :
– Tope là pour 10 000 euros. Puis il retire la montre de son poignet et la donne à son nouveau propriétaire, ravi.
Le nouveau propriétaire de la montre donne le chèque de 10 000 euros, tourne les talons et s’en va, mais l’inventeur le rappelle :
– Hé, attendez une minute… Puis montrant les deux grosses valises : Vous oubliez les piles.

Morale et bonnes manières



Pendant une classe où l’on enseignait la morale et les bonnes manières, l’institutrice demande aux élèves :
– Michel, si tu étais en train de faire la cour à une jeune fille de bonne famille, très bien éduquée pendant un dîner en tête à tête et que tu avais besoin d’aller aux toilettes que dirais-tu ?
– Attends-moi une seconde, je vais pisser un coup.
– Ça serait très grossier et très malpoli de ta part. Jean comment dirais-tu
?
– Je m’excuse, mais il faut que j’aille aux toilettes, mais je reviens tout de suite.
– C’est déjà mieux, mais c’est désagréable de mentionner les toilettes pendant les repas. Et toi Toto, tu serais capable d’utiliser ton intelligence, au moins pour une fois, pour démontrer tes bonnes manières ?
– Je dirais « Ma chère, je vous demande pardon de m’absenter un moment, je m’en vais de ce pas tendre la main à un ami intime que j’espère pouvoir vous présenter après le dîner ».

Les qualités du slip



Un paysan va pour la première fois chez le docteur.
– Déshabillez-vous, dit celui-ci.
L’homme ôte son pantalon. Il n’a rien dessous.
– Vous ne portez pas de slip ? s’étonne le docteur.
– Un quoi ?
– Un slip ! c’est un sous-vêtement qu’on enfile avant le pantalon. Je vous conseille d’en acheter. C’est plus propre, plus chaud, et plus confortable…
En sortant de la consultation, le paysan va acheter des slips, et le lendemain matin, avant d’aller aux champs, il en met un.
Il est depuis une heure sur son tracteur lorsqu’il est pris d’une forte envie de grosse commission. Alors il stoppe l’engin, descend et comme d’habitude, il baisse son pantalon, oubliant qu’il a aussi un slip, s’accroupit au-dessus du champ et se soulage. Après quoi, il regarde sous lui et ne voit rien.
– Cré nom, se dit-il, il avait raison le docteur. Avec le slip, c’est plus propre…
Il retourne tranquillement vers son tracteur :
– Et c’est vrai que c’est plus chaud…
Il remonte sur l’engin, s’assied sur le siège métallique :
-… et plus confortable !

Communication radio



Transcription d’une communication radio entre un bateau de l’US Navy et les autorités canadiennes au large de Newfoundland (Terre-Neuve). (Ceux qui désirent en vérifier la véracité peuvent lire toute l’histoire ici)
Américains : Veuillez vous dérouter de 15 degrés Nord pour éviter une collision. A vous.
Canadiens: Veuillez plutôt vous dérouter de 15 degrés Sud pour éviter une collision. A vous.
Américains : Ici le capitaine d’un navire des forces navales américaines. Je répète : Veuillez modifier votre course. A vous.
Canadiens : Non, veuillez dérouter, je vous prie. A vous.
Américains : ICI, C’EST LE PORTE-AVIONS US LINCOLN, LE SECOND NAVIRE EN IMPORTANCE DE LA FLOTTE NAVALE DES ÉTATS-UNIS D’AMERIQUE. NOUS SOMMES ACCOMPAGNES PAR 3 DESTROYERS, 3 CROISEURS ET UN NOMBRE IMPORTANT DE NAVIRES D’ESCORTE. JE VOUS DEMANDE DE DÉVIER DE VOTRE ROUTE DE 15 DEGRÉS NORD OU DES MESURES CONTRAIGNANTES VONT ÊTRE PRISES POUR ASSURER LA SÉCURITÉ DE NOTRE NAVIRE. A VOUS.
Canadiens : Ici, c’est un phare. A vous.
Américains : silence ……………………

L’accident de travail



Monsieur l’assureur,
Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J’ai précisé :
« manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.
Je suis couvreur de formation. Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 kg . Plutôt que de descendre les tuiles à la main, j’ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage.
J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l’immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg.
Dés que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ai pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde.
J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du troisième étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent.
Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise.
Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas.
Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causé qu’une simple fracture du genou.
Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé. J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus.
J’étais donc dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide redescente…
Très cordialement.

Je vous invite…



Un homme style élégant et BDSB (bien dans ses baskets) sort d’un supermarché poussant un caddie rempli à ras bord de marchandises et gourmandises en tout genre,  champagne,  foie gras,  saumon ,  etc …
En s’approchant du coffre de son magnifique 4X4,  il aperçoit un homme qui ramasse de rachitiques brins d’herbes poussés à travers le béton du parking  :
Le riche : Excusez moi, Monsieur,  mais que faîtes vous ?
Le pauvre : Je ramasse de l’herbe,  c’est pour la manger,  j’en ramène aussi à la maison, on n’a plus rien !
Le riche : Ah bon !!!!  si je peux me permettre, tenez voici ma carte avec mon adresse,  venez plutôt manger à la maison !
Le pauvre : C’est gentil,  M’sieur,  mais j’ai une femme et huit mômes,  et je,  enfin ……..
Le riche : Mais,  c’est évident,  venez avec votre famille !
Le pauvre : Oh alors, ça, c’est gentil !  mais c’est que les grands y sont déjà mariés,  pi z’ont aussi des petits !!!
Le riche : Allons,  mon ami,  je vous en prie, venez tous !
Le pauvre : Z’ êtes sur,  parce qu’y a aussi mes sœurs et mes beaux frères,  on est nombreux ……
Le riche : Je vous le dis,  j’insiste, ça me fait plaisir ,  venez tous chez moi,  l’herbe est haute comme ça,  si vous êtes nombreux en trois heures c’est fait  !!!!

Manif d’etudiants



C’est une manifestation d’étudiants barrée par des CRS qui leur refusent le passage .
En colère, les étudiants se mettent à scander :
– CRS ! SS !….CRS ! SS !…CRS! SS !
Les CRS frappent leur bouclier de leur matraque pour impressionner les étudiants qui hurlent leur slogan de plus belle.
Un CRS excédé demande la permission de répliquer au chef de la brigade :
– Chef ! Chef ! est ce que je peux répliquer, Chef ?
Le chef de brigade lui répond :
– Heu, oui, mais restez correct tout de même.
Le CRS empoigne le mégaphone et se met alors à hurler :
– Étudiants ! diants ! diants !….. Étudiants ! diants ! diants !…..

La diététicienne



Une diététicienne donne une conférence devant un auditoire bondé.
– Tous les aliments que nous mettons dans notre estomac peuvent presque tous nous tuer dans quelques années. La viande rouge, les boissons gazeuses qui usent les parois de l’estomac, les légumes et personne ne réalise les méfaits à long terme de consommer l’eau qui est pleine de germe.
Mais il y a une chose qui est encore plus terrible et dangereuse que nous tous avons ou mangerons un jour. Il y a-t-il quelqu’un dans la salle qui pourrait me dire quel est l’aliment qui peut causer le plus de malheur et de souffrance après en avoir consommé ?
Un homme de 75 ans, assis dans la première rangée se lève et dit alors :
– Le gâteau de noce !?!

On n’arrête pas le progrès



Obama, Poutine et Hollande sont assis nus dans un sauna lors d’un sommet du G8. Soudain, le bruit d’un « bip » se fait entendre.
Obama appuie sur son avant-bras avec son index et le « bip » s’arrête. Hollande le regarde époustouflé.
Obama lui dit : « Je vous prie de m’excuser, c’était mon agenda, j’ai la puce implantée sous la peau de l’avant-bras.
Quelques secondes plus tard, on entend une sonnerie de téléphone. Poutine met la paume de sa main contre son oreille et, quand il a fini de parler, explique à Hollande complètement suffoqué : « Désolé, c’était mon portable, j’ai la puce implantée dans la main. Hollande se sent vraiment ignorant aux yeux des deux autres.
Il se lève, va aux toilettes et retourne au sauna avec du papier toilette qui pend aux fesses. Les deux autres le regardent en s’interrogeant ??? Et Hollande leur dit : « Mince alors, j’ai encore reçu un fax !»

Le chariot



Deux cow-boys qui convoyaient du bétail dans les plaines de l’Ouest distinguent la silhouette d’un Indien couché sur le sol.
Ils se rapprochent et voient finalement que le Comanche est à plat ventre, l’oreille collée contre le sol.
Les cow-boys s’arrêtent et le premier dit au second :
– Tu vois cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se trouve.
A ce moment là, l’Indien tourne la tête et dit :
– Chariot couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan. Un homme, une femme, deux enfants avec affaires dans chariot.
– Incroyable ! s’exclament en cœur les cow-boys. Cet Indien est tout bonnement incroyable. C’est époustouflant ! Comment arrive-t-il à connaitre autant de détails ???
Alors l’Indien tourne à nouveau la tête et fait :
– Chariot rouler sur moi il y a une demi-heure…