Le navet



L’ouvreuse du cinéma met en garde le couple qui est venu à la séance avec son bébé :
–  Si l’enfant pleure, vous devrez quitter la salle. Bien sûr, on vous remboursera !
Une demi-heure après le début du film, le mari se penche vers sa femme :
–  Qu’en penses-tu ?
–  Ce film est archinul !
–  T’as raison, secoue donc le petit.

Argent de poche



Pendant les vacances, un petit garçon propose ses services dans le voisinage pour se faire de l’argent de poche. Un monsieur lui dit :
– Tu tombes bien. Je te donne cinquante euros pour me repeindre le porche en vert. Tiens voilà la peinture…
– Deux heures plus tard le garçon revient.
– C’est fait.
– Déjà ? Bravo ! Tiens voilà cinquante euros.
– Merci, m’sieur. Mais si vous permettez, je vous signale que votre 4 x 4 c’est pas un Porsche c’est un Mercedes…

L’autoroute



Un ministre africain vient en voyage officiel en France, et se fait inviter à dîner chez son homologue français. En voyant la somptueuse villa de ce dernier, et toutes les toiles de maître aux murs, il lui demande comment il peut bien s’assurer un tel train de vie avec sa paye somme toute modeste de serveur de la République. Le français l’entraîne près de la fenêtre :
– Vous voyez l’autoroute là-bas ?
– Oui
– Elle a coûté vingt milliards, l’entreprise l’a facturée 25 et m’a versé la différence.
Deux ans plus tard, le ministre français est en voyage officiel en Afrique et rend visite à son homologue. Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n’en avait encore jamais vu. Stupéfait, il demande :
– Mais je ne comprend pas, il y a 2 ans vous trouviez que j’avais un train de vie princier, mais par rapport à vous…
Le ministre africain l’entraîne près de la fenêtre :
– Vous voyez l’autoroute là-bas ?
– Non…
– Ben voilà….

A la NASA



Journée d’entretien d’embauche à la NASA ; on recrute un volontaire pour la première expédition sur Mars… Une précision néanmoins, l’élu n’aura pratiquement aucune chance de revenir sur terre…
Ça ne se bouscule pas au portillon mais trois types se présentent finalement et, les responsables de la mission demandent aux postulants ce qu’ils souhaitent obtenir comme dédommagement financier.
« Je veux dix millions », déclare le premier, un ingénieur, « et je léguerai tout à la recherche spatiale ! »
Interrogé juste après, le second, médecin répond: « Je veux 20 millions, la moitié pour ma famille, l’autre pour faire un don à l’église… »
Le troisième, un homme d’affaires, se présente alors et annonce : « Je veux 30 millions ! »
Le Président de la commission de la NASA, impressionné par les prétentions de cet homme qui n’a aucun diplôme scientifique, lui demande alors de justifier son appétit pécuniaire.
« En fait », explique t-il, « Ça fera 10 millions pour moi, 10 pour vous et on envoie l’ingénieur ! »

L’insolent



Un professeur déjeune à la cantine quand un étudiant vient s’asseoir en face de lui.
Le prof lui dit avec un sourire narquois:
– Les oiseaux et les cochons ne déjeunent pas ensemble !
– Oh ! s’cusez, alors je m’envole, lui répond l’étudiant.
Honteux de s’être fait avoir si bêtement, le professeur décide de le coller lors du contrôle de la semaine suivante, mais l’étudiant répond parfaitement à toutes les questions. Alors le prof lui pose un petit problème :
-Tu es dans la rue et tu trouves deux sacs, l’un contient des billets de banque et l’autre de l’intelligence, lequel choisis-tu ?
– Le sac rempli de billets, répond l’étudiant.
– Moi, à ta place, j’aurais choisi l’intelligence !
– Les gens prennent toujours ce qu’ils n’ont pas, lui répond l’étudiant .
Le professeur ravale sa rage, mais il prend la copie de l’étudiant et inscrit dans la marge: « CONNARD ».
L’étudiant prend sa copie, va s’asseoir et au bout de quelques minutes, il revient.
– Monsieur, lui dit-il, vous avez signé mais vous avez oublié de me mettre une note !

Le clin d’oeil



C’est un gars qui est affublé d’un tic très marqué: il cligne de l’œil droit tout le temps. Ce gars est justement en train de postuler pour une place de commercial, et en ce moment, il passe son entretien d’embauche.
L’employeur lui dit :
– C’est incroyable. Vous êtes diplômé des meilleures écoles de commerce, vos recommandations sont excellentes, et votre expérience est sans commune mesure par rapport à celle des autres candidats… Normalement, je vous embaucherais sans réfléchir… Pourtant, je pense qu’un commercial affublé d’un tic comme le votre aurait tendance à perdre des clients en leur faisant peur. Je suis désolé, mais je ne peux pas vous embaucher.
Le gars répond :
– Attendez, mon tic disparaît si je prends deux aspirines. Je vous assure !
– Vraiment ? Je ne demande qu’à vous croire. Montrez-moi !
Alors le gars fourre les mains dans ses poches et commence à en sortir toutes sortes de préservatifs des rouges, des bleus, des fluorescents, des parfumés…. et finalement, il sort une boite d’aspirine. Il l’ouvre, prend deux comprimés, les avale, et hop, les clignements de l’œil cessent peu à peu.
Le patron est assez surpris :
– Eh bien, vous avez dit vrai. Cependant, je suis le patron d’une compagnie respectable, et je n’ai pas l’intention d’employer quelqu’un qui court les filles parmi tout le pays !
– Courir les filles ? Que voulez-vous dire ? Je suis marié et très heureux en ménage !
– Alors comment expliquez-vous tous ces préservatifs ?
– Ah ça ?! Vous êtes déjà entrés dans une pharmacie, en clignant de l’œil, et en demandant de l’aspirine ?

La sieste



Adossés à un olivier, deux Corses font la sieste dans un champ, en contrebas de la route.
Arrive à plus de cent à l’heure un camion de la Brink’s qui, emporté par la vitesse, manque le virage, dévale le talus et vient s’écraser à l’autre extrémité du champ.
Le camion est disloqué, les deux convoyeurs sont inanimés, et les sacs de fonds éventrés laissent échapper une montagne de billets.
Alors un des deux Corses se redresse légèrement et dit à son copain :
– Oh! Doumé ! Si le vent se lève, on est milliardaires …

L’Amérique



Sur le port de La Rochelle, une jeune fille, les larmes aux yeux, regarde les navires à quai.
– Vous aimez les bateaux à ce point-là ? lui demande un marin.
– Non, je n’y connais rien. Je rêve seule ment de m’embarquer pour l’Amérique, mais je n’ai pas d’argent…
– Écoutez, fait le marin, ça pourrait s’arranger. Mon bateau appareille ce soir pour New York. Si vous voulez, je vous cache dans une chaloupe, et je vous apporte à manger toutes les nuits. Seulement il faudra être gentille et me faire des gros câlins…
La pauvre fille a tellement envie de connaître l’Amérique qu’elle accepte. Le marin la cache au fond d’une chaloupe, lui apporte chaque nuit de la nourriture, et chaque nuit elle le paye en nature.
Le cinquième jour, le commandant, en se promenant sur le pont, entend un bruit qui provient d’une chaloupe. Il soulève la bâche et découvre la passagère clandestine.
– Je vous en supplie, dit-elle, ne me dénoncez pas aux autorités américaines, laissez-moi débarquer à New York…
– Qu’est-ce que c’est cette histoire de New York ? fait le commandant. Vous êtes sur le bac de l’île de Ré…

La moumoute du comte



Monsieur le comte vient de mourir. Et comme il tenait à ce que personne ne le voie sans sa moumoute qu’il n’enlevait que la nuit, on le couche dans le cercueil avec la perruque sur la tête.
Mais dans cette position elle glisse, impossible de la faire tenir droite.
Après de multiples tentatives, la veuve se désespère. Alors le croque-mort lui dit :
– Ne vous inquiétez pas, je vais vous arranger ça !
Un quart d’heure plus tard, il vient la prévenir que c’est fait : la moumoute reste parfaitement droite.
– Oh, merci, merci ! Combien vous dois-je ? dit la comtesse.
– Rien du tout ! Pour un malheureux clou…

Le livre



Une femme appelle son mari :
– Chéri ?
– Ouais ! Qu’est-ce que tu me veux encore ?
– L’autre jour, j’ai acheté un livre et je ne le retrouve plus. Tu te souviens, il s’appelait « L’art de devenir centenaire ». Qu’est ce que tu en as fait ?
– Je l’ai jeté !
– Tu as du culot, je voulais le lire ! Pourquoi l’as-tu jeté ?
– Parce que j’ai vu que ta mère commençait à le lire !

Les vendanges



Cela se passe en France dans la région alsacienne, par manque de main d’œuvre les vignerons ont engagé des étrangers pour les vendanges et parmi eux un Africain surnommé Janvier qui parle peu le français.
Après la première journée, la dame du vigneron inquiète demande donc à Janvier comment cela s’est-il passé.
– Oh très bien madame; il y a une bonne ambiance et aujourd’hui nous avons coupé la riesling.
– Mais non on ne dit pas LA riesling, mais LE riesling (Vin d’Alsace).
– Ah bon ? J’ai fait une erreur sur le.
La seconde journée de nouveau la dame lui demande donc comment la journée s’est passée :
– Oh très bien madame, l’ambiance est très bonne malgré le travail dur, je me plais bien, les copains sont chouettes aujourd’hui nous avons coupé la Gewurztraminer.
– Mais non Janvier, on dit LE Gewurztraminer et pas LA Gewurztraminer (Vin d’Alsace).
Le lendemain janvier est absent au départ du matin et la dame du vigneron est donc très inquiète pour lui, mais vers 10 heures, elle rencontre Janvier, assis sur le banc près de l’église et elle l’interroge :
– Mais Janvier pourquoi n’es-tu pas venu au travail aujourd’hui ?
– Oh non madame, car aujourd’hui mes copains ont dit qu’ils coupaient LE pinot noir (Vin d’Alsace) ! J’ai eu peur qu’ils se soient trompés eux aussi !

Les radins



Deux amis, adeptes de radins.com, discutent :
– J’ai un truc pour manger à l’œil.
– Super, tu fais comment ?
– Je vais au restaurant assez tard, je commande une entrée, un plat, je prends mon temps, pour le café, le cognac, un bon cigare et j’attends la fermeture.
Comme je ne bouge pas, quand ils rangent toutes les tables et mettent les chaises dessus pour pouvoir fermer, le garçon vient pour me demander de payer. Je lui dis que j’ai déjà payé son collègue, qui est parti.
Simple, non ?
– Génial, fait l’autre ; si on essayait demain ?
– D’accord je réserve.
Le soir suivant, ils vont au restaurant, commandent de nombreux plats.
A la fin de la soirée, le garçon arrive et leur demande de payer.
Le premier gars lui répond : « Mais c’est déjà fait, à votre collègue qui est parti. »
Le copain ajoute alors : « Et ça fait un moment qu’on attend la monnaie ! »

La super montre



C’est un gars qui attend le bus avec deux grosses valises à ses pieds. Un autre arrive et lui demande l’heure.
– Il est 15 heures 45, répond le gars après avoir regardé sa montre. Alors l’autre passant lui dit :
– Waow, votre montre est superbe !
– Oui, c’est vrai, et surtout, elle a beaucoup de fonctions : par exemple, elle peut être programmée pour donner l’heure dans plus de 50 villes différentes au monde, et en plus, en parlant ! Là dessus, le gars appuie sur quelques boutons, et la montre se met à dire « Ici à Nagano, il est actuellement 1h45″. Puis le gars touche un bouton de plus et la montre se met à donner l’heure en anglais ! Montrant l’écran de la montre, il ajoute :
– Et là vous voyez, c’est un plan de la ville que l’on peut zoomer à volonté en appuyant ici, et ce petit point clignotant, c’est la position où l’on se trouve dans la ville qui nous est donnée par satellite grâce au système GPS intégré !
Alors que l’autre est bouche bée, le gars avec la montre poursuit :
– Cette montre permet aussi de recevoir la FM avec le système RDS. Il y a une option TV mais elle nécessite un écran LCD trop encombrant. Un système de télémétrie permet aussi de mesurer les distances et enfin, pour terminer, une carte de mémoire haute capacité permet un enregistrement vocal de deux heures… L’autre gars est époustouflé :
– Je veux acheter cette montre: il me la faut, maintenant !
– Oh non, j’en suis l’inventeur et je ne peux pas encore vous la vendre maintenant : j’en suis encore à résoudre certains bugs, c’est encore un prototype vous savez…
– Je vous en offre 1 000 euros!
– Ouah l’autre hé ! J’ai déjà dépensé le double pour la créer.
– Je vous en offre 3 000 euros alors !
– Elle n’est pas à vendre je vous dis…
– Bon, allez, je vous en offre 10 000 euros, dit le gars en sortant son chéquier
Alors là, l’inventeur génial réfléchit et rapidement, il comprend que son intérêt est de vendre la montre pour en fabriquer une nouvelle et il dit :
– Tope là pour 10 000 euros. Puis il retire la montre de son poignet et la donne à son nouveau propriétaire, ravi.
Le nouveau propriétaire de la montre donne le chèque de 10 000 euros, tourne les talons et s’en va, mais l’inventeur le rappelle :
– Hé, attendez une minute… Puis montrant les deux grosses valises : Vous oubliez les piles.

Morale et bonnes manières



Pendant une classe où l’on enseignait la morale et les bonnes manières, l’institutrice demande aux élèves :
– Michel, si tu étais en train de faire la cour à une jeune fille de bonne famille, très bien éduquée pendant un dîner en tête à tête et que tu avais besoin d’aller aux toilettes que dirais-tu ?
– Attends-moi une seconde, je vais pisser un coup.
– Ça serait très grossier et très malpoli de ta part. Jean comment dirais-tu
?
– Je m’excuse, mais il faut que j’aille aux toilettes, mais je reviens tout de suite.
– C’est déjà mieux, mais c’est désagréable de mentionner les toilettes pendant les repas. Et toi Toto, tu serais capable d’utiliser ton intelligence, au moins pour une fois, pour démontrer tes bonnes manières ?
– Je dirais « Ma chère, je vous demande pardon de m’absenter un moment, je m’en vais de ce pas tendre la main à un ami intime que j’espère pouvoir vous présenter après le dîner ».

Les qualités du slip



Un paysan va pour la première fois chez le docteur.
– Déshabillez-vous, dit celui-ci.
L’homme ôte son pantalon. Il n’a rien dessous.
– Vous ne portez pas de slip ? s’étonne le docteur.
– Un quoi ?
– Un slip ! c’est un sous-vêtement qu’on enfile avant le pantalon. Je vous conseille d’en acheter. C’est plus propre, plus chaud, et plus confortable…
En sortant de la consultation, le paysan va acheter des slips, et le lendemain matin, avant d’aller aux champs, il en met un.
Il est depuis une heure sur son tracteur lorsqu’il est pris d’une forte envie de grosse commission. Alors il stoppe l’engin, descend et comme d’habitude, il baisse son pantalon, oubliant qu’il a aussi un slip, s’accroupit au-dessus du champ et se soulage. Après quoi, il regarde sous lui et ne voit rien.
– Cré nom, se dit-il, il avait raison le docteur. Avec le slip, c’est plus propre…
Il retourne tranquillement vers son tracteur :
– Et c’est vrai que c’est plus chaud…
Il remonte sur l’engin, s’assied sur le siège métallique :
-… et plus confortable !

Communication radio



Transcription d’une communication radio entre un bateau de l’US Navy et les autorités canadiennes au large de Newfoundland (Terre-Neuve). (Ceux qui désirent en vérifier la véracité peuvent lire toute l’histoire ici)
Américains : Veuillez vous dérouter de 15 degrés Nord pour éviter une collision. A vous.
Canadiens: Veuillez plutôt vous dérouter de 15 degrés Sud pour éviter une collision. A vous.
Américains : Ici le capitaine d’un navire des forces navales américaines. Je répète : Veuillez modifier votre course. A vous.
Canadiens : Non, veuillez dérouter, je vous prie. A vous.
Américains : ICI, C’EST LE PORTE-AVIONS US LINCOLN, LE SECOND NAVIRE EN IMPORTANCE DE LA FLOTTE NAVALE DES ÉTATS-UNIS D’AMERIQUE. NOUS SOMMES ACCOMPAGNES PAR 3 DESTROYERS, 3 CROISEURS ET UN NOMBRE IMPORTANT DE NAVIRES D’ESCORTE. JE VOUS DEMANDE DE DÉVIER DE VOTRE ROUTE DE 15 DEGRÉS NORD OU DES MESURES CONTRAIGNANTES VONT ÊTRE PRISES POUR ASSURER LA SÉCURITÉ DE NOTRE NAVIRE. A VOUS.
Canadiens : Ici, c’est un phare. A vous.
Américains : silence ……………………

L’accident de travail



Monsieur l’assureur,
Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J’ai précisé :
« manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.
Je suis couvreur de formation. Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 kg . Plutôt que de descendre les tuiles à la main, j’ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage.
J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l’immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg.
Dés que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ai pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde.
J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du troisième étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent.
Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise.
Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas.
Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causé qu’une simple fracture du genou.
Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé. J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus.
J’étais donc dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide redescente…
Très cordialement.

Je vous invite…



Un homme style élégant et BDSB (bien dans ses baskets) sort d’un supermarché poussant un caddie rempli à ras bord de marchandises et gourmandises en tout genre,  champagne,  foie gras,  saumon ,  etc …
En s’approchant du coffre de son magnifique 4X4,  il aperçoit un homme qui ramasse de rachitiques brins d’herbes poussés à travers le béton du parking  :
Le riche : Excusez moi, Monsieur,  mais que faîtes vous ?
Le pauvre : Je ramasse de l’herbe,  c’est pour la manger,  j’en ramène aussi à la maison, on n’a plus rien !
Le riche : Ah bon !!!!  si je peux me permettre, tenez voici ma carte avec mon adresse,  venez plutôt manger à la maison !
Le pauvre : C’est gentil,  M’sieur,  mais j’ai une femme et huit mômes,  et je,  enfin ……..
Le riche : Mais,  c’est évident,  venez avec votre famille !
Le pauvre : Oh alors, ça, c’est gentil !  mais c’est que les grands y sont déjà mariés,  pi z’ont aussi des petits !!!
Le riche : Allons,  mon ami,  je vous en prie, venez tous !
Le pauvre : Z’ êtes sur,  parce qu’y a aussi mes sœurs et mes beaux frères,  on est nombreux ……
Le riche : Je vous le dis,  j’insiste, ça me fait plaisir ,  venez tous chez moi,  l’herbe est haute comme ça,  si vous êtes nombreux en trois heures c’est fait  !!!!

Manif d’etudiants



C’est une manifestation d’étudiants barrée par des CRS qui leur refusent le passage .
En colère, les étudiants se mettent à scander :
– CRS ! SS !….CRS ! SS !…CRS! SS !
Les CRS frappent leur bouclier de leur matraque pour impressionner les étudiants qui hurlent leur slogan de plus belle.
Un CRS excédé demande la permission de répliquer au chef de la brigade :
– Chef ! Chef ! est ce que je peux répliquer, Chef ?
Le chef de brigade lui répond :
– Heu, oui, mais restez correct tout de même.
Le CRS empoigne le mégaphone et se met alors à hurler :
– Étudiants ! diants ! diants !….. Étudiants ! diants ! diants !…..

La diététicienne



Une diététicienne donne une conférence devant un auditoire bondé.
– Tous les aliments que nous mettons dans notre estomac peuvent presque tous nous tuer dans quelques années. La viande rouge, les boissons gazeuses qui usent les parois de l’estomac, les légumes et personne ne réalise les méfaits à long terme de consommer l’eau qui est pleine de germe.
Mais il y a une chose qui est encore plus terrible et dangereuse que nous tous avons ou mangerons un jour. Il y a-t-il quelqu’un dans la salle qui pourrait me dire quel est l’aliment qui peut causer le plus de malheur et de souffrance après en avoir consommé ?
Un homme de 75 ans, assis dans la première rangée se lève et dit alors :
– Le gâteau de noce !?!

On n’arrête pas le progrès



Obama, Poutine et Hollande sont assis nus dans un sauna lors d’un sommet du G8. Soudain, le bruit d’un « bip » se fait entendre.
Obama appuie sur son avant-bras avec son index et le « bip » s’arrête. Hollande le regarde époustouflé.
Obama lui dit : « Je vous prie de m’excuser, c’était mon agenda, j’ai la puce implantée sous la peau de l’avant-bras.
Quelques secondes plus tard, on entend une sonnerie de téléphone. Poutine met la paume de sa main contre son oreille et, quand il a fini de parler, explique à Hollande complètement suffoqué : « Désolé, c’était mon portable, j’ai la puce implantée dans la main. Hollande se sent vraiment ignorant aux yeux des deux autres.
Il se lève, va aux toilettes et retourne au sauna avec du papier toilette qui pend aux fesses. Les deux autres le regardent en s’interrogeant ??? Et Hollande leur dit : « Mince alors, j’ai encore reçu un fax !»

Le chariot



Deux cow-boys qui convoyaient du bétail dans les plaines de l’Ouest distinguent la silhouette d’un Indien couché sur le sol.
Ils se rapprochent et voient finalement que le Comanche est à plat ventre, l’oreille collée contre le sol.
Les cow-boys s’arrêtent et le premier dit au second :
– Tu vois cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se trouve.
A ce moment là, l’Indien tourne la tête et dit :
– Chariot couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan. Un homme, une femme, deux enfants avec affaires dans chariot.
– Incroyable ! s’exclament en cœur les cow-boys. Cet Indien est tout bonnement incroyable. C’est époustouflant ! Comment arrive-t-il à connaitre autant de détails ???
Alors l’Indien tourne à nouveau la tête et fait :
– Chariot rouler sur moi il y a une demi-heure…

Les bonbons



Un père rentre à la maison avec un énorme paquet de bonbons et dit à ses enfants :
– Celui qui obéit toujours à maman, qui ne lui répond jamais, qui fait gentiment tout ce qu’elle demande, aura ce gros paquet de bonbons. C’est pour qui ?
Et les quatre enfants répondent en chœur :
– Pour toi, papa !

Psychotérapie



– Docteur, j’ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j’ai l’impression qu’il y a quelqu’un caché dessous. Alors, je me relève pour regarder sous le lit, et, bien sûr, il n’y a personne. Je me recouche, mais au bout d’un moment, je me dis que je n’ai peut-être pas bien regardé. Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j’ai beau me dire que c’est idiot, je ressens toujours le besoin de m’assurer que personne n’est caché sous le lit. Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
– Hum… Je vois… obsessionnel compulsif… Comptez quatre ans d’entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par
semaine, et je vous guéris de votre obsession.
– Euh… Combien ça va me coûter, Docteur ?
– 60 euros par séance. Donc, 180 euros par mois, 2160 euros par an et donc 8700 euros au
final
– Euh… je crois que je vais réfléchir…
Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard :
– Alors ? Pourquoi n’êtes-vous jamais revenu me voir ?
– 8700 euros ? Mon livreur de pizza m’a résolu mon problème, pour seulement 30 euros !
– Votre livreur de pizza ?? Vraiment ?? Et comment a-t-il fait ?
– Il m’a conseillé de scier les pieds de mon lit !!

C’est la crise



Eh oui c’est la crise et rien ne va plus !!
Les problèmes des boulangers sont croissants …Alors que les bouchers veulent défendre leur bifteck, les éleveurs de volailles se font plumer, les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les pêcheurs haussent le ton ! Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont « dans la merde », tandis que les céréaliers sont « sur la paille ».
Par ailleurs, alors que les brasseurs sont sous pression, les viticulteurs trinquent. Heureusement, les électriciens résistent.
Mais pour les couvreurs, c’est la tuile et certains plombiers prennent carrément la fuite. Dans l’industrie automobile, les salariés débrayent, dans l’espoir que la direction fasse marche arrière.
Chez EDF, les syndicats sont sous tension, mais la direction ne semble pas au courant. Les cheminots voudraient garder leur train de vie, mais la crise est arrivée sans crier gare, alors . . Les veilleurs de nuit, eux, vivent au jour le jour.
Pendant que les pédicures travaillent d’arrache-pied, les croupiers jouent le tout pour le tout, les dessinateurs font grise mine, les militaires partent en retraite, les imprimeurs dépriment et les météorologistes sont en dépression. Les prostituées, elles, se retrouvent à la rue.
C’est vraiment la crise ! !